Pour divers motifs, l’investissement dans de nouvelles fenêtres et de nouveaux volets est quelquefois indispensable. Me concernant, il s’agissait surtout de disposer d’un logement bien isolé. Et effectivement, ma facture de chauffage a baissé de près de 15 %.
Quel type de volet ?
Si jusqu’ici je n’avais pas de volets, j’ai profité de l’occasion pour en faire poser sur chacune de mes fenêtres. Mon objectif était avant toute chose d’optimiser la performance thermique de ma maison. En effet, il parait que 20 % des déperditions de chaleur sont occasionnées par les fenêtres et les portes mal isolées. De ce fait, j’ai pu ainsi bénéficier d’un crédit d’impôt qui m’a été accordé par l’État. En outre, avec ce dispositif, j’améliore également la sécurité de ma maison, du moins pour le rez-de-chaussée facilement accessible.
Il ne me restait alors plus qu’à choisir mes volets. En faisant mon achat, je savais déjà quel modèle j’allais commander. Pour trois raisons, mes préférences se sont tout de suite tournées vers les volets coulissants. Mon premier critère de décision a été le non-encombrement de ce type de volets. Contrairement aux volets roulants qui nécessitent un coffre, ou encore aux modèles à battants qui, en s’ouvrant, occupent de l’espace, les coulissants ne sont pas du tout imposants.
D’autre part, pliable où à galandage, ce modèle de volet peut être motorisé et offre donc une possibilité d’ouverture et de fermeture à distance. Mieux, les miens sont gérés par une commande centralisée avec des programmes horaires. Enfin, je n’ai pas pu résister à la modernité des volets coulissants. J’aime beaucoup leur côté décoratif et design qui met en valeur la façade de ma maison. De plus, avec l’aluminium, il y a un large panel de couleur.
Quel modèle de fenêtre ?
Maintenant concernant l’achat des nouvelles fenêtres, avant l’esthétisme, mes principales préoccupations étaient surtout axées sur l’étanchéité. En effet, c’était une des conditions sine qua non pour être éligibles à la réduction d’impôts. Néanmoins, dans la mesure où la propriété se trouve en bord de rue, j’ai pris le temps de me renseigner auprès de la Mairie, au cas où les règlements d’urbanisme relatifs à ma commune m’imposeraient des normes spécifiques en matière de forme ou de couleur par exemple.
Il faut savoir que dans certains secteurs dits « sauvegardés », les couleurs et les matériaux des fenêtres des maisons sont imposés. Mais heureusement, ce n’est pas le cas dans notre quartier. C’est pourquoi, pour mon plus grand bonheur, j’ai pu assortir la couleur de mes volets à mes fenêtres. Par contre, si vous habitez dans un immeuble, il vous faut consulter les règles de copropriété qui régissent ce type de travaux, avant d’engager quoi que ce soit.
Pour ce qui est de ma maison, seul un double vitrage offrait une bonne isolation thermique et acoustique : j’ai donc opté pour cela. Pour moi, c’est parfait puisque ma maison est dorénavant équipée de fenêtres avec des cadres aux dimensions standards. Maintenant, pour ce qui est du matériau, je me suis laissé tenter par les modèles mixtes, à savoir l’aluminium pour la partie extérieure, et le bois pour la face intérieure. Bien sûr, l’idéal était des fenêtres en bois exotiques, mais c’est au-dessus de mes moyens. Sinon, les essences européennes dont notamment le chêne et le merisier sont également d’excellentes alternatives.